Ce mois-ci, on est avec deux formidables libraires, Max et Léo, et on parle des bienfaits des libraires et des librairies queerféministes, de ce que c’est que d’avoir un rapport féministe aux livres et à la lecture, de l’importance de ces espaces dans nos vies, des moyens pour les rendre accessibles au-delà des habituelles classes sup’ qui y passent après leurs courses chez Naturalia, et on se recommande des ouvrages pour diffuser la propagande féministe dans notre entourage.
On en a parlé dans l’émission, vous pouvez soutenir la librairie Violette and Co ici, et soutenir la Mutinerie en péril ici.
Vous pouvez télécharger l’émission ici, ou l’écouter là :
Morceaux diffusés :
Kae Tempest – People’s Faces
Clara Ysé – Les rois du désespoir
Patti Smith – Ghost Dance
Ouvrages cités et chaudement recommandés :
Les extraits lus en introduction sont tirés de A place of our own: six spaces that shaped queer women’s culture, de June Thomas
L’avis de lecture d’Astrid portait sur Maxiplotte, de Julie Doucet (2021).
Les ouvrages recommandés en fin d’émission étaient :
– Pour la grand-mère qui veut comprendre la transidentité : Transitions
– Pour le daron qui veut provoquer sa nièce woke : Dirty Weekend, un roman d’Helen Zahavi (1991)
– Pour le frère ou le pote qu’on veut politiser sans trop froisser : Dora, une bande dessinée de Minaverry (2017)
– Pour la maman qu’on veut faire entrer dans le féminisme : La Belle de mai, une bande dessinée de Mathilde Ramadier et Élodie Durand (2024) ; Madeleine résistante, une bande dessinée de Jean-David Morvan et Madeleine Riffaud (2021).
– Mais aussi : Clémence en colère, de Mirion Malle (2024) ; Dans la maison rêvée, de Carmen Maria Machado (2019).